Le corps humain est composé d'enormément de différentes cellules de différentes natures, toutes descendantes d'une seule contenant (ou manifestant...), comme la graine d'un arbre, toute l'information structurelle de base. Celle-ci s'est multipliée à répétition avec multiples différenciations pour finalement donner par l'experience de la manifestation interne et externe sa forme actuelle au corps parmi le champ des possibles immense de l'information initiale.

Elles ne sont évidemment pas jetées dans le tas au hasard formant un joyeux chaos. Une intelligence ou logique structure toute l'organisation, ADN de la cellule, vibration sous-jacente à la matière vivante que l'on apparente plus ou moins à la Conscience et ses déclinaisons dans une vision multidimensionnelle du réel, tous les principes de vie découlant de l'intelligence de vie manifestant l'univers, bref les théories vont bon train et beaucoup continuent malheureusement de s'accrocher à leur partie de la compréhension en rejetant le reste parce que c'est moi! Nous! qui avons raison! Et que de toute manière on arrive plus à voir les chose d'un autre point de vue.

Revenons donc au corps humain, ces cellules et familles de cellules differenciées s'organisent en tissus de différentes natures (durs, mous, élastiques, sensibles, les quatres grandes familles étant les tissus epitheliaux recouvrant des surfaces, protegeant, sécretant... les tissus conjonctifs et de soutien ayant pour fonction principale de donner et maintenir la forme du corps comme le tissu osseux par exemple, les tissus nerveux et musculaires.

Ces tissus s'organisant ensuite ensemble formant les organes, ou différents tissus remplisent une même fonction, le foie, la rate...

Ces organes, eux aussi, travaillent ensemble par équipe afin de remplir une fonction, cette fois-ci pour le corps tout entier. On appelle cela les systèmes. On distingue 10 systèmes (plus ou moins mêlés entre eux) dans la classification actuelle occidentale : L'appareil loco-moteur (os et muscles), la peau, le système respiratoire, le système cardio-circulatoire (sanguin et lymphatique), le système digestif, le sytème nerveux, le système immunitaire, le système hormonal, le système urinaire et le système de la reproduction.

Allez hop, un peu de sexe

C'est bon pour les chiffres

A ceux-ci, peut être pouvons nous ajouter les 2 kilos de bactéries et champignons (flore intestinale) qui vivent dans nos intestins et interragissent en permanence avec le fonctionnement global, notamment la digestion et le système nerveux...

Toutes ces équipes collaborent ensemble pour former cet "écosystème" dans une harmonie dépassant de loin notre entendement. Du moins lorsque notre libre arbitre n'entrave pas la vie en utilisant son pouvoir de manière totalement inconsciente et dysfonctionnelle.

A présent, si vous le voulez bien, nous allons prendre beaucoup de recul, nous envoler un instant afin de revenir à un champ de vision large et considérer notre chère Terre mère.

Vu d'ici, la biosphère est un organisme vivant... et nous en sommes les composants d'un de ses systèmes.

Que sommes nous là dedans? quel système sommes-nous en son sein? quelle est notre utilité?

Je ne sais pas vraiment, sûrement un manque de recul et de compréhension des enjeux universels. La Vie nous a doté de la capacité à appréhender mentalement, partiellement cet univers, de l'immensément grand à nous-même. Elle nous a aussi surtout offert la possibilité de ressentir par l'intelligence qui nous manifeste ce qui a du sens pour nous et pour le reste. A nous de la développer et de l'utiliser.

Peut être sommes nous une partie du système nerveux manifestant le corps mental, tout en étant un peu aussi le système immunitaire, qui serait malade. Mais je ne serais pas étonné, que les arbres aient une part non négligeable dans la participation à l'esprit de la planète, comme une bibliothèque de connaissance, garante de la mémoire globale de celle-ci, tout en étant le point central du système respiratoire photosynthétique (solaire).

S'il y a un appareil reproducteur, par contre, je parierais sur nous. Mais reproduire un système de souffrance auto-destructeur me parait bien insensé, ce serait donc mettre la charrue avant les boeufs.

Soyons donc capable de manifester un modèle fonctionnel et harmonieux, offrant une vie satisfaisante à ses cellules avant de tenter de le reproduire.

Bien, abordons maintenant la question du menhir

dans la symbolique artistique